Espace Presse

La Sélection Cannes Classics 2021

Kinuyo Tanaka © Nikkatsu / Carlotta

 

Comme chaque année, le Festival de Cannes présente le meilleur des copies restaurées et nous invite à revisiter l'histoire du cinéma.


Lever de rideau avec le documentaire de Mark Cousins en pré-ouverture; la redécouverte de la réalisatrice-actrice Kinuyo Tanaka et de la réalisatrice, actrice, scénariste et productrice espagnole Ana Mariscal; un hommage au réalisateur et acteur Bill Duke; un gros plan sur le premier réalisateur afro-américain Oscar Micheaux; la Palme d’or de 1959; les 70 ans des « Cahiers du Cinéma »; la pudeur de Jacques Doillon; une merveille de Michael Powell et d’Emeric Pressburger; la Film Foundation de Martin Scorsese et le World Cinema Project; le premier rôle de Tilda Swinton; du cinéma venu de Côte d’Ivoire, d’ex-Yougoslavie, d’Italie et d’ex-Tchécoslovaquie; le film d’Alain Resnais à Cannes en 1966; Irène Jacob filmée par Krzysztof Kieślowski et Jeanne Moreau par Philippe de Broca; du polar français; des films « soviétiques » que Cannes accueillait en Compétition; la magie d’Orson Welles; le style de Max Ophüls; quatre documentaires-événements sur Jeremy Thomas, Satoshi Kon, Luis Buñuel et Yves Montand; un docu-fiction plein de fureur cinéphile; et 20 ans après, le mystère non résolu de Mulholland Drive…

Voici Cannes Classics, cru 2021 ! 

Hommage à Bill Duke : The Killing Floor

Le réalisateur, acteur (pour John McTiernan, Samuel Fuller, John Landis ou Steven Soderbergh) et producteur, en Compétition à Cannes avec A Rage in Harlem en 1991, revient sur la Croisette avec son premier film en tant que réalisateur, présenté à la Semaine de la Critique en 1985.

The Killing Floor de Bill Duke
(1985, 1h58, États-Unis)
Une présentation de Made in U.S.A. Productions, Inc. Scan 4K du négatif 16mm original (stocké à Archive’s Sundance Institute Collection) par UCLA Film & Television Archive sous la supervision de la productrice exécutive et coscénariste Elsa Rassbach. Suivi de la restauration 4K (étalonnage par Alpha-Omega digital à Munich et Planesol post-production à Berlin) par Made in U.S.A. Productions. Mixage mono d’époque restauré numériquement par Deluxe Entertainment Services Group DESG à partir du magnétique original. Le film fut restauré en commémoration du 100ème anniversaire des émeutes raciales de Chicago en 2019.
En présence de Bill Duke et de la productrice exécutive et coscénariste Elsa Rassbach.

Kinuyo Tanaka, actrice et réalisatrice

Kinuyo Tanaka, une des plus grandes actrices japonaises, réalisa son premier film en 1953, sélectionné d’emblée en Compétition pour le Japon à Cannes en 1954. Elle y revint en 1961 et 1964 comme interprète. Elle fut la seule cinéaste active de l’âge d’or du cinéma japonais et son deuxième long métrage présenté ici est le reflet de son immense talent. Cette nouvelle version restaurée en 4k par la Nikkatsu inaugure l’événement Tanaka, une rétrospective à venir de ses 6 films.

Tsuki wa noborinu (La Lune s’est levée / The Moon Has Risen) de Kinuyo Tanaka
(1955, 1h42, Japon)
Une présentation de Nikkatsu distribuée en France par Carlotta Films. Restauration à partir du positif 35mm original conservé par Nikkatsu Corporation. Restauration 4K faite par Nikkatsu Corporation et The Japan Foundation au laboratoire Imagica Entertainment Media Services, Inc.

Ana Mariscal, l’Espagne au féminin

Réalisatrice pionnière du cinéma ibérique, l’actrice, scénariste et productrice espagnole Ana Mariscal mit en scène dix films, aussi anticonformistes que visuellement splendides. En avant-goût de la découverte de son œuvre, voici la chronique nostalgique d’un modeste village espagnol dans les années 60.

El camino (Le Chemin / The Path) d’Ana Mariscal
(1964, 1h31, Espagne)
Une présentation de David García Rodríguez. Numérisation et restauration 4K supervisées par Ramón Lorenzo Sierra à partir du négatif d’origine monté et vintage marron. Restauration sonore à partir du négatif sonore d’origine. Laboratoire : Vivavision (Madrid). Distribution salles France : Karmafilms. Sortie en France : octobre 2021. Vidéo : édition collector UHD, novembre 2021.

Oscar Micheaux

Le premier réalisateur afro-américain de l’histoire du cinéma américain à l’honneur dans une sublime copie restaurée de l’un de ses plus grands films accompagné d’un passionnant documentaire.

Murder in Harlem d’Oscar Micheaux
(1935, 1h36, États-Unis)
Une présentation de la Cineteca di Bologna. Restauré en 2021 par le George Eastman Museum et la Cineteca di Bologna, en association avec la Film Foundation Quoiat Films et Sky à partir d’une copie nitrate 35mm provenant de la SMU/Tyler Film Collection, SMU Libraries, déposée au George Eastman Museum. Restauration réalisée par le département préservation film du George Eastman Museum et le laboratoire de l’Immagine Ritrovata.
La projection sera précédée de :
Oscar Micheaux – The Superhero of Black Filmmaking de Francesco Zippel.
(1h20, Italie) 
Une présentation de Quoiat Films, Sky.
En présence de Francesco Zippel

Orfeu Negro, Palme d’or 1959

Le Festival de Cannes continue l’exploration des Palmes d’or qui ont jalonné son histoire. Cette année, le mythe d’Orphée et Eurydice revu par Marcel Camus au Brésil et mis en musique par Antônio Carlos Jobim à la direction musicale sur des airs de bossa nova, de samba et de jazz. Éblouissant.

Orfeu Negro (Black Orpheus) de Marcel Camus
(1959, 1h45, France / Brésil / Italie)
Une présentation Solaris Distribution. Une restauration 4K par Impex Films et Tigon Film Distributors avec l’aide du CNC, à partir du négatif image original 35mm. Le son original monophonique a été numérisé à partir d’une copie d’exploitation, qui a également servi de référence pour l’étalonnage. Laboratoire : HiventClassics. Distribution salles France : Solaris Distribution, sortie Française 2e semestre 2021.

Rossellini et les « Cahiers du Cinéma »

Tandis que la Cineteca di Bologna poursuit sa visite de l’œuvre de Rossellini, les « Cahiers du Cinéma » célèbrent leur histoire à Cannes. Le cofondateur de la revue, André Bazin, fut membre du Jury en 1954 et ils ont été invités à chacun de leur anniversaire. Quoi de mieux que de projeter la copie restaurée d’un film de Roberto Rossellini, présent à Cannes dès sa première édition, et que Bazin et Truffaut considéraient comme une figure majeure du cinéma contemporain ? Les Onze Fioretti de François d’Assise fut chroniqué dès le premier numéro d’avril 1951.

Francesco, giullare di Dio (Les Onze Fioretti de François d’Assise / The Flowers of St. Francis) de Roberto Rossellini
(1950, 1h27, Italie)
Une présentation de Cineteca di Bologna et de The Film Foundation. Restauré en 2021 par Cineteca di Bologna et The Film Foundation en association avec RTI-Mediaset et Infinity+ au laboratoire L’Immagine Ritrovata. Financement : Hobson/Lucas Family Foundation.

Les films restaurés de Cannes Classics 2021

La Drôlesse (The Hussy) de Jacques Doillon
(1978, 1h30, France)
Une présentation de Malavida. Le scan et la restauration 2K ont été effectués à partir du négatif image, par le laboratoire Éclair Cinéma. Le son a été restauré à partir du négatif par L.E. Diapason. Restauration réalisée par Gaumont avec le soutien du CNC. En avant-première de la rétrospective « Jacques Doillon, jeune cinéaste » à partir du 3 novembre 2021.
En présence de Jacques Doillon
 
I Know Where I’m Going! (Je sais où je vais !) de Michael Powell et Emeric Pressburger
(1945, 1h32, Royaume-Uni)
Une présentation de The Film Foundation. Restauré par le BFI National Archive et The Film Foundation en association avec ITV et Park Circus. Restauration financée par la Hobson/Lucas Family Foundation. Avec l’appui de Matt Spick.
 
Lumumba : la mort du prophète (Lumumba : Death of a Prophet) de Raoul Peck
(1990, 1h09, France / Allemagne / Suisse / Belgique / Haïti)
Une présentation de The Film Foundation dans le cadre du World Cinema Project. Restauré par The Film Foundation’s World Cinema Project et Cineteca di Bologna à L’Immagine Ritrovata/L’Image Retrouvée en collaboration avec Velvet Film et supervisé par Raoul Peck. Restauration financée par la Hobson/Lucas Family Foundation. Cette restauration s’inscrit dans le cadre de l’African Film Heritage Project, une initiative créée par The Film Foundation’s World Cinema Project, la Fédération panafricaine des Cinéastes et l’UNESCO en collaboration avec la Cineteca di Bologna dans le but d’aider à localiser, restaurer et diffuser le cinéma en provenance d’Afrique.
 
Friendship’s Death de Peter Wollen
(1987, 1h18, Royaume-Uni)
Une présentation du British Film Institute (BFI). Restauration 4K par le BFI National Archive à partir du négatif couleur 16mm original. Bande-son numérisée à partir du mixage original 35mm. Travail en collaboration avec la productrice du film Rebecca O’Brien et le chef opérateur Witold Stok.
En présence de Tilda Swinton
 
Bal poussière d’Henri Duparc
(1989, 1h33, Côte d’Ivoire)
Une présentation du CNC et de la Fondation Henri Duparc. Restauration du négatif image original 16mm par le laboratoire du CNC. Scan 2K. Étalonnage : Hiventy. Restauration son à partir du magnétique 16mm original : L’Image Retrouvée.
 
La Double Vie de Véronique (The Double Life of Veronique) de Krzysztof Kieślowski

(1991, 1h38, France / Pologne)
Une présentation de MK2. Restauration réalisée par Hiventy à partir du négatif original en 4K et supervisée par le chef opérateur Sławomir Idziak. Distribution en France par Potemkine.
En présence d’Irène Jacob
 
F for Fake (Vérités et Mensonges) d’Orson Welles
(1973, 1h25, France/ Iran / Allemagne)
Une présentation des Films de L’Astrophore et de la Cinémathèque française en collaboration avec Documentaire sur Grand Écran. Restauration par Les Films de L’Astrophore et la Cinémathèque française en collaboration avec Documentaire sur Grand Écran, la Cinémathèque suisse et l’Institut audiovisuel de Monaco, avec le soutien de Hiventy et la Fondation d’entreprise Neuflize OBC. Les travaux de restauration image et son ont été réalisés au laboratoire Hiventy à partir du négatif original et au Studio L.E. Diapason à partir des pistes magnétiques 35mm.
 
Yashagaike (L’Étang du démon / Demon Pond) de Masahiro Shinoda
(1979, 2h04, Japon)
Une présentation de Shōchiku. Restauration numérique par Shōchiku Co., Ltd. en 4K. Le négatif 35mm original a été fourni par Shōchiku, le son restauré par Shōchiku MediaWorX Inc. et la restauration image réalisée par Imagica Entertainment Media Services, Inc. Distribution salles France : Carlotta Films.
 
La guerre est finie (The War is Over) d’Alain Resnais
(1966, 2h01, France)
Une présentation de Gaumont. Première restauration numérique en 4K présentée par Gaumont avec le soutien du CNC. Restauration effectuée au laboratoire Éclair Classics.
 
Échec au porteur (Not Delivered) de Gilles Grangier
(1957, 1h27, France)
Une présentation de Pathé. Numérisation 4K et restauration 2K, d’après les négatifs originaux Safety (un négatif image, un marron standard, un négatif son optique). Travaux effectués par le laboratoire L’Immagine Ritrovata (Paris-Bologne). Restauration avec le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC).
 
Chère Louise (Louise) de Philippe de Broca
(1972, 1h45, France / Italie)
Une présentation de TF1 Studio. Nouvelle version restaurée en 4K par TF1 Studio et Warner Bros. à partir du négatif image original. Travaux numériques réalisés par le laboratoire VDM en 2021. Ressortie salles à venir : Les Acacias. Sortie Blu-ray collector : Coin de Mire.
 
Napló gyermekeimnek (Journal intime / Diary for My Children) de Márta Mészáros
(1983, 1h49, Hongrie)
Une présentation de National Film Institute Hongrie – Film Archive. Restauration numérique 4K menée dans le cadre du « programme de restauration à long terme des films du patrimoine hongrois » du National Film Institute – Film Archive. Restauration à partir des négatifs originaux image et bande de son magnétique au laboratoire National Film Institute – Filmlab. Étalonnage supervisé par Nyika Jancsó, chef opérateur du film.

En présence de la réalisatrice Márta Mészáros et du chef opérateur Nyika Jancsó
 
Až přijde kocour (Un jour, un chat / The Cassandra Cat) de Vojtech Jasný
(1963, 1h45, République tchèque)
Une présentation de Národní Filmový Archiv, Prague. Restauration numérique en 4K à partir d’un interpositif par L’Immagine Ritrovata à Bologne. Financement : Milada Kučerová et Eduard Kučera. Restauré en partenariat avec le Karlovy Vary International Film Festival. Distribution France : Malavida Films.
En présence de l’actrice Emília Vašáryová
 
Monanieba (Le Repentir / Repentance) de Tenguiz Abouladzé
(1984, 2h33, Géorgie)
Une présentation du Georgian National Film Center. Interpositif : goskinofond. Scan 4k et étalonnage : UPP Prague. Restauration numérique, travaux sonores et DCP : Studio Phonographe, Tbilissi. Financement : Georgian National Film Center.
En présence de l’acteur Avtandil Makharadze et de la scénariste Nana Janelidze
 
Dan četrnaesti (Le Quatorzième Jour / The Fourteenth Day) de Zdravko Velimirović
(1960, 1h41, Monténégro / Serbie)
Une présentation de Crnogorska kinoteka, Podgorica & Jugoslovenska kinoteka, Belgrade. Restauré numériquement à partir d’un scan 2K du négatif original noir et blanc.
 
Il cammino della speranza (Le Chemin de l’espérance / The Path of Hope) de Pietro Germi
(1950, 1h45, Italie)
Une présentation du Centro Sperimentale di Cinematografia – Cineteca Nazionale. Restauré par Centro Sperimentale di Cinematografia – Cineteca Nazionale à partir du négatif 35mm original mis à disposition par CristaldiFilm, complété par un marron de la Cineteca Nazionale et du son optique d’un positif de la Cineteca Nazionale.

Letter from an Unknown Woman (Lettre d'une inconnue) de Max Ophüls
(1948, 1h27, États-Unis)

Restauration 4K d’après le négatif image original ainsi que d’un positif 35mm. Restauration son à partir du négatif original.
Travaux réalisés par le laboratoire Technicolor pour l’image et Chace Audio by Deluxe pour le son, sous la supervision de Paramount Pictures Preservation.
Sortie salles par la Rabbia février 2022.

Mulholland Drive de David Lynch
(2001, 2h25, États-Unis)
Une présentation de Studiocanal. Restauration réalisée par Criterion et Studiocanal à partir du négatif original, scanné en résolution 4K à Fotokem, et remasterisation du son à partir du son original 5.1. Son et image ont été validés par David Lynch, dans les formats Cinéma et HDR. Distribution en France par Studiocanal, avec une ressortie en salles de cinéma et édition d’un coffret collector Blu-ray UHD.

Cannes Classics 2021 : les documentaires

The Storms of Jeremy Thomas (Les Tempêtes de Jeremy Thomas) de Mark Cousins
(1h29, Royaume-Uni)
Un portrait du producteur anglais Jeremy Thomas, en voiture au départ de Londres pour se rendre à Cannes. Une passion pour le cinéma et la découverte de nouveaux talents, le compagnonnage avec Bernardo Bertolucci ou Takashi Miike, par le réalisateur-cinéphile-auteur Mark Cousins.
Une production de David P. Kelly Films avec Creative Scotland, Tim Macready et Visit Films.
En présence de Jeremy Thomas et de Mark Cousins
 
Satoshi Kon, l’illusionniste de Pascal-Alex Vincent
(1h21, France / Japon)
Une plongée dans l’œuvre extraordinaire du réalisateur Satoshi Kon par le spécialiste du cinéma nippon Pascal-Alex Vincent. Avec des interviews des plus grands réalisateurs japonais, français et américains inspirés par son travail.
Une présentation d’Eurospace et Genco (Tokyo), en collaboration avec Carlotta Films et Allerton Films (Paris).
En présence de Pascal-Alex Vincent
 
Buñuel, un cineasta surrealista de Javier Espada
(1h23, Espagne)
Luis Buñuel et le Festival de Cannes, c’est une grande histoire d’amour –la salle où sont projetés les films de Cannes Classics s’appelle elle-même Buñuel. Empli de culture, ce documentaire, dédié à Jean-Claude Carrière qui fut si proche du cinéaste espagnol et écrivit nombre de films avec lui, explore avec brio les thèmes du grand Buñuel.
Une présentation de Tolocha producciones.
En présence de Javier Espada

Montand est à nous (All About Yves Montand) d’Yves Jeuland
(1h40, France)
Présent dans Le Salaire de la peur (Grand Prix en 1953) ou La guerre est finie présenté cette année en copie restaurée, Président du Jury en 1987 (Maurice Pialat a reçu la Palme d’or), Yves Montand aura laissé une empreinte aussi forte au cinéma qu’au music-hall. À l’occasion des 100 ans de sa naissance et des 30 ans de sa disparition, Montand est à nous est un documentaire exceptionnel. Écrit par Yves Jeuland et Vincent Josse.
Une production de Zadig Productions, avec Diaphana Films et la participation de France Télévisions.
En présence d’Yves Jeuland et de Vincent Josse

The Story of Film: a New Generation de Mark Cousins
(2h40, Royaume-Uni)
Un voyage cinématographique d’envergure dans le cinéma d’avant la pandémie. Tout recommence avec cette odyssée magique, ambitieuse et d’un foisonnement sans pareil dans le monde cinématographique actuel. En pré-ouverture du Festival de Cannes et annonçant l’édition pleine de surprises qui se prépare.   
Une présentation et production de Hopscotch Films. Ventes : Dogwoof.

En présence de Mark Cousins

Et j’aime à la fureur (Flickering Ghosts of Love Gone By) de André Bonzel
(1h50, France)
Un autoportrait très personnel d’André Bonzel, coréalisateur du cultissime C’est arrivé près de chez vous, à partir des images des films amateurs qu’il collectionne depuis toujours, dont certaines tournées par son arrière-arrière-grand-père, familier des frères Lumière. Un film unique, bouleversant, qui raconte l’histoire d’une cinéphilie familiale sur plusieurs générations, mis en musique par Benjamin Biolay.
Une production Les films du Poisson.

En présence de André Bonzel

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