Pleins feux sur la Caméra d’or

Un petit tour d’horizon de la sélection Caméra d’or

Comme chaque année, le Festival de Cannes souhaite distinguer un premier long-métrage par la remise du Prix de la Caméra d’Or. Cette récompense sera décernée le dimanche 24 mai, lors de la Cérémonie de Clôture, par un Jury présidé par l’acteur réalisateur français Roschdy Zem et composé de la directrice de la photographie Diane Baratier, de la réalisatrice Sandrine Ray, du critique Charles Tesson, d’Edouard Waintrop du Festival de Fribourg en Suisse et d’Olivier Chiavassa de la Fédération française des Industries Techniques du Cinéma, au meilleur premier film présenté non seulement parmi la Sélection Officielle – Compétition et Un Certain Regard – mais également parmi les sections parallèles – la Quinzaine des Réalisateurs et la Semaine Internationale de la Critique.

Dans la Sélection Officielle, les films en lice pour la Caméra d’Or sont : Eyes Wide Open de Haim Tabakman (Un Certain Regard), Samson et Delilah de Warwick Thornton (Un Certain Regard), Panique au village de Vincent Patar et Stéphane Aubier (Hors Compétition), Une vie toute neuve d’Ounie Lecomte (Hors Compétition), Pétition de Zhao Liang (Séance Spéciale), No Meu Lugar d’Eduardo Valente (Séance Spéciale) et Cendres et Sang de Fanny Ardant (Séance Spéciale).

Dans la Quinzaine des Réalisateurs, cette récompense est convoitée par : J’ai tué ma mère de Xavier Dolan, I Love You Philip Morris de Glenn Ficarra et John Requa, La Famille Wolberg d’Axelle Ropert, Here de Ho Tzu-Nyen, Daniel y Ana de Michel Franco, Eastern Plays de Kamen Kalev, Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani, et Les Beaux gosses de Riad Sattouf.

Du côté de la Semaine de la Critique, les œuvres concourant pour la Caméra d’Or sont : Hierro de Gabe Ibáñez, Ordinary People de Vladimir Perisic, Karaoke de Chan Fui (Chris) Chong, Huacho de Alejandro Fernández Almendras, Lost Persons Area de Caroline Strubbe, Mal Dia Para Pescar d’Alvaro Brechner, Whisper with the Wind de Shahram Alidi, Adieu Gary de Nassim Amaouche, Lascars de Albert Pereira Lazaro et Emmanuel Klotz, et Rien de personnel de Mathias Gokalp.

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